Shabadabada est un classique du jeu d’ambiance sorti en 1982 – ouch ! que le temps passe – qui a connu deux suites, Shabadabada 2, et Shabadabada cinoche. Si vous êtes un inconditionnel de la chansonnette, ne ratez pas SHABADABADA 416, une édition limitée en jolie boîte métallique.
Savoir tenir paroles
Mais pourquoi 416 ? N’allez pas chercher l’indicatif de l’Ontario, ni l’éruption du Krakatoa, ni une loi sur les télécoms : cette édition contient tout simplement 416 mots ! La boîte de cette édition, aux couleurs psychédéliques, renferme en effet le Shabadabada 1, le Shabadabada 2 plus quelques cartes supplémentaires, des cartes challenge et une règle du jeu.
Pour ceux qui seraient passés à côté, rappelons les principes du jeu : on tire 12 cartes pour former une pioche puis on retourne une carte par tour de jeu. Sur cette carte se trouvent des mots. La première équipe devra citer un poème ou le déclamer, chanter un extrait de chanson ou indiquer un titre de chanson contenant l’un des mots. L’équipe adverse doit ensuite lui rendre la pareille avec la même carte et ainsi de suite. Quand une équipe sèche, ce sont les adversaires qui remportent la carte. À la fin de la pioche, l’équipe en possédant le plus gagne la partie.
Ne jamais manquer d’airs
Parmi les mots, la moitié est en français et l’autre en anglais : selon sa culture, on trouvera certains sujets plus faciles que d’autres, c’est pourquoi toute la famille peut y jouer, avec ses propres références.
Pour corser le tout, on peut ajouter des cartes challenge qui vont obliger à ne citer que des artistes féminins, à citer un titre du même artiste que l’adversaire, à reprendre le dernier mot des adversaires dans son extrait, à utiliser des chanteurs morts ou au contraire des vivants, etc.
Si vous ne possédiez pas Shabadabada, voici l’occasion de vous faire la collection complète en une seule boîte éditée à l’occasion du salon d’Essen. Si vous êtes déjà un chanteur du samedi soir, c’est le moment de vous faire plaisir avec SHABADABADA 416, une luxueuse édition limitée.
